lundi 25 janvier 2010

Final Crisis #1 - Grant Morrison, J.G.Jones (2007)


Tout le mal qu'on peut raisonnablement en penser est , et s'appliquerait sans doute à une grande partie de la production de Morrison, si l'on omet ses séries mainstream.
M'enfin, comme le disait Claire dans ses commentaires à l'article sur The Filth, "un Grant Morrisson qui partirait pas en couilles à la moitié, ce serait pas un vrai Grant Morrisson."
Sauf que d'après ce que je peux en comprendre alors que je n'en suis encore qu'à la moitié de l'anglais en 90 leçons, c'est que c'est très confus dès le début. Peut-être qu'il faut apprécier chaque case pour ses qualités intrinsèques, indépendamment de celles qui la prècèdent ou qui la suivent.

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