dimanche 6 décembre 2009

Bernard Lavilliers - Nuit d'amour (1981)

Que Nanard n'est-il décédé au cours de ce stupide accident domestique avec une brune chargée !
Il ne cherchait qu'à la nettoyer quand le coup est parti.
Bref.
Ici il y a du meilleur et du moins bon.
J'étais là, j'ai tout vu, et aussi vrai que j'ai bac plus douze en lavillierologie early-eighties, c'est vrai que Bernard inventa ici le rap, avec son bataclan de boites à rythmes sur NightBird, et ce au moins cinq ans avant tout le monde, même si les lyrics - inspiration poussive polar Los Angeles, l'album est enregistré là-bas - flirtent un peu avec le ridicule et la posture, et que les fans de la première heure commencent à tousser : c'est le début de la chucknorrisation de notre ancien camarade de la LCR.
Mais il y a l'étonnante reprise des Barbares (le morceau) relooké métal flippé, avec l'aide des complices de toujours. Il y a Betty, où l'émotion n'est pas feinte.
Pour le reste, il y a du n'importe quoi plus ou moins inspiré.
Mais il faut bien être quand on a été, j'aimerais vous y voir !

6 commentaires:

  1. partie 1
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    partie 2
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  2. Je crois bien que c'est ce vinyle - il trainait dans la discothèque de mes vieux - qui m'a conduit à Lavillier. J'y suis rentré par le morceaux de hard rock qui se trouve je ne sais plus à la fin de quelle face.

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  3. dj duclock tu pourrais parler de tes parents avec un peu plus de respects !!!!
    Des parents qui ont du Lavilier dans leur discothèque ne peuvent pas être foncièrement mauvais..........
    Marrant que se soit ce vinyle qui t'es "conduit à Lavillier " alors que pour moi c'est celui qui
    "m'a sorti de Lavillier ".

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  4. Sûrement un question d'âge, hé hé hé...

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  5. y'a pas de quoi rire : on sort tous du même trou - et on va tous dans le même aussi - rigoureusement à la même vitesse. On n'est pas partis au même moment, c'est tout. Ton ricanement témoigne de ta volonté de méconnaitre cette idée, mais tu verras que tout passe.
    Evidemment, c'est pas vraiment les théories de Bernard, qui reste assez discret sur la doctrine de l'impermanence.

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  6. Je vais bosser un peu mon Nirvana avec Kurt Cobain...

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